Dans un contexte marqué par des tirs entendus à proximité de la présidence du Tchad, le ministre d'État et porte-parole du gouvernement, Abderamane Koullamallah, s'est rapidement exprimé pour apaiser les tensions. Armé d'un pistolet, il s'est présenté comme un symbole de fermeté et de vigilance, affirmant que "la situation est sous contrôle".
Les faits
Dans la soirée, des individus armés ont tenté de franchir l'entrée principale du palais présidentiel.
Ils ont été énergiquement repoussés par les forces de sécurité tchadiennes, qui ont réagi avec une grande détermination.
Selon des sources proches de la présidence, des tirs de sommation ont également été entendus, déclenchés par les militaires en poste pour dissuader toute progression des assaillants.
Cet incident a immédiatement suscité des interrogations sur la sécurité autour de cette zone hautement sensible.
Une réponse ferme du gouvernement
Depuis la présidence, pistolet automatique au poing, Abderamane Koullamallah a voulu rassurer la population tchadienne, déclarant :
« Je voudrais rassurer l'ensemble des Tchadiens que la situation est sous contrôle. (…) Je suis actuellement à la Présidence de la République. (…) Tout est calme. »
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