Dans une déclaration récente, Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla, Premier Ministre du Burkina Faso, a exprimé son mécontentement envers l'Union Africaine (#UA) et la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (#CEDEAO).
Selon lui, ces institutions n'ont pas réagi de manière adéquate face à la crise sécuritaire qui sévit dans son pays et dans la région.
Kyélem de Tambèla a critiqué le manque d'empathie de l'UA et de la CEDEAO envers les populations victimes du terrorisme, soulignant que leur seule préoccupation semblait être les questions électorales et les rencontres politiques.
Il a déploré le fait que ces institutions ne se soient pas intéressées aux moyens concrets mis en œuvre pour lutter contre le terrorisme et protéger les citoyens.
Suite à cette déception, le Premier Ministre a annoncé sa décision de ne plus rencontrer les délégations de l'UA et de la CEDEAO.
Cette déclaration souligne les tensions croissantes entre les autorités burkinabè et les institutions régionales et continentales, mettant en lumière les défis persistants auxquels est confrontée la région en matière de sécurité et de gouvernance.
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